CORONAVIRUS : Près de 345’000 victimes du Covid-19 dans le monde
Si le déconfinement se poursuit lentement à travers le globe, la pandémie frappe durement l'Amérique latine et notamment le Brésil.
Retour sur les plages en Espagne et aux États-Unis, réouverture des discothèques en Islande et levée de l'état d'urgence au Japon: le déconfinement se poursuit à travers le monde où le coronavirus a fait plus 344’000 morts et poursuit sa progression, notamment en Amérique latine.
Aux États-Unis, pays le plus touché par la pandémie apparue en décembre en Chine, des Américains se sont rendus en masse sur les plages et dans les parcs pendant le week-end prolongé du Memorial Day, journée de commémoration de tous les morts de guerre. Le Covid-19 y a fait 532 nouveaux décès en 24 heures, portant le bilan total à 98’218 morts, tandis que le nombre de personnes contaminées dans le pays était de 1’662’375 lundi, selon le comptage quotidien publié lundi par l’Université Johns Hopkins.
Au Japon, le Premier ministre a annoncé lundi la levée de l'état d'urgence dans les dernières régions de l’archipel où il était encore en vigueur, notamment à Tokyo, permettant à la troisième économie du monde de redémarrer, tout en appelant à la prudence. À Madrid, les habitants ont bénéficié d’un premier allégement avec la réouverture des terrasses des cafés, des restaurants et des espaces verts, après l’un des confinements les plus stricts du monde face à la pandémie partie de Chine fin 2019.
Autre pays lourdement frappé par le Covid-19, l’Italie a franchi une nouvelle étape dans la levée des restrictions, avec la réouverture des salles de sport et des piscines, une semaine après celle des restaurants. Et mardi c’est le site antique de Pompéi (sud) qui va rouvrir.
Retour en discothèque
En Islande, les discothèques fermées depuis neuf semaines se sont à nouveau électrisées lundi, premier pays d’Europe à rouvrir ses boîtes de nuit après la Lettonie. «Comme je travaille avec des enfants, je suis assez cool en ce qui concerne les règles de distanciation sociale», a lâché Smári Jökulsson, employé à mi-temps dans un centre de loisirs et heureux de retrouver le B5, un établissement huppé de Reykjavik.
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