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Les enfants Kadji Defosso se déchirent pour les biens de leur feu papa

Selon nos confrères de Lebledparle.com, La famille du défunt milliardaire décéder en août 2018 est en passe de voler aux éclats pour histoire de biens.


La gestion de la Société Civile Immobilière est au centre d’une discorde ayant conduit ces derniers devant les tribunaux. Dans son édition du 05 mai 2020, le journal Kalara révèle le centre de la discorde qui n’est ni plus ni moins que « la désignation contestée du gérant statutaire de la société civile immobilière dénommée SCI Chimède ».


Deux camps s’affrontent au sein des enfants Kadji Defosso. Le premier, composé de Nicole Doudou Kadji Defosso, Josette Kadji et Gilbert Kadji, est poursuivi devant le tribunal de première instance de Douala pour des infractions de « suppression et fabrication des preuves, tromperie envers les associés, faux en écritures privées ou de commerce, extorsion d’un acte, d’une signature, d’un blanc-seing ». Les plaignants sont leurs frères d’une même mère ; Pierre Kadji, Odette Kadji et Jean-Patrice Kadji Djeugoue qui constituent le second camp.


Après la mort de leur père, alors patron de ladite société, une assemblée générale de la société, organisée sous fonds de contestation, a permis de désigner  Nicole Doudou Kadji pour présider aux destinées de cette structure. D’après les plaignants cette dernière aurait été choisie par Josette et Gilbert Kadji en faisant passer la SCI Chimède pour une entreprise familiale alors que tel n’est pas le cas; UCB SA y étant encore actionnaire.


Dans leur citation directe dont le journal Kalara a pu obtenir une copie, il en ressort que « la succession de Kadji n’a pas encore de représentants légaux alors et surtout que les prévenus en signant pour le compte de la succession Kadji Defosso savaient pertinemment qu’ils n’avaient pas qualités, car les 33.602 actions que détient la succession Kadji Defosso ne leur appartiennent pas. »


En plus du TPI, le journal révèle que les enfants de Kadji Defosso s’affronteraient également au tribunal de grande instance du Wouri. Les raisons de cet autre front de guerre de fratricide sont encore inconnues.

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