Urgent: le régime de Yaoundé scelle le sort de journalistes et lanceurs d'alerte
- Par la Rédaction
- 4 mars 2020
- 2 min de lecture
La chasse au journaliste et dénonciateur, Michel Biem Tong, par le régime de Yaoundé est l'explication finale et définitive que ces personnes vivent dans leur propre univers parallèle. Pour un régime qui prétend être le leader mondial de la «démocratie apaisée» mais qui dans la pratique requiert une collaboration active et l'obéissance totale de tous les Camerounais sans exception, ce type de chasse à l’homme trahit ce qui est en fait et en pratique un régime totalitaire.

Dans cet univers parallèle, le régime de Yaoundé ne comprend pas que dans le monde réel, il a perdu toute légitimité en raison de ses violations flagrantes, répétées et unanimement condamnées des droits humains. En dehors de ses laquais zombifiés et serviles, aucune personne saine d'esprit ne pardonnera le genre d'atrocités que ce régime a infligé à son propre peuple. Au lieu de cela, il continuent dans son approche agressive et nihiliste. La chasse à des personnalités comme Michel Biem Tong montre que le régime est loin d'expier ses nombreux péchés. Au lieu de cela, il s’agit d’un régime infecté par des toxoplasmes et présentant des comportements suicidaires et une impulsivité incontrôlée. En consequence, un régime bloqué dans un purgatoire sans possibilités de rachat et tuer plus de gens ne peut plus en aucun cas l’aider. La réaction de panique tardive du régime de Yaoundé à la catastrophe dans les régions anglophones du pays est exactement le contraire de ce dont le pays entier et la communauté internationale attendent de lui, a un moment précisément où la communauté internationale prend pleinement conscience de ses massacres à répétition. Davantage de tueries ne feront que renverser ce régime tyrannique. En fait, une réponse compétente pourrait lui donner une chance mais continuer à bâcler toutes les chances d'une résolution pacifique du conflit ne fera qu'enterrer ce régime dans la poubelle de l'histoire. Globalement, ce qui va au-delà de tout cela, c'est le fait que Michel Biem Tong est par essence l'opposé des «créatures» de Biya et leur manque de responsabilité personnelle, l’asbence de conscience et la lâcheté. Et vous constatez désormais que le problème pour la plupart des Camerounais à la fin n'est pas tant le totalitarisme ethnofasciste, mais la zombification réussie de nombreux d’entre-eux, surtout Francophones, par le régime de Biya.
Source:camerounweb.com
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