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Résultat de l’enquête sur le massacre de Ngarbuh : où est passé Paul Atanga Nji

À l’annonce des informations selon lesquelles une vingtaine de civil avait été tuée dans la nuit du 14 février 2020 à Ngarbuh par des militaires par Équinoxe TV, STV, Radio Balafon et Le Jour, le ministre de l’administration Territoriale les avait accusé de conspiration contre l’État du Cameroun et de déstabilisation des institutions républicaines.


Hier 21 avril 2020, le communiqué signé par le ministre d’État, Secrétaire Général de la Présidence de la République est donc venu donner raison à ces médias qui s’inspiraient des dénonciations faites par Human Rights Watch, OCHA, International Crisis Group…En son temps, Paul Atanga Nji avait même menacer de fermer ces médias en indiquant qu’ils avaient reçu des fonds flous pour faire large écho des rapports erronés desdites ONG véreuses.



Paul Atanga Nji abattu en plein


Un mois après que le Minat ait renié les conclusions du rapport de l’ONG Human Rights Watch,  la présidence de la République admet qu’une bavure de soldats a coûté la vie des innocents le 14 février 2020 dans la région du Nord-ouest. Ce qui corrobore l’essentiel des accusations de Human Rights Watch que Paul Atanga Nji avait balayé d’un revers de la main. Non sans présenter l’ONG comme celle qui définit la ligne éditoriale de certains médias camerounais. Va-t-il s’excuser ?

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