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Human Rights Watch accuse à nouveau le Cameroun de Paul Biya de réprimer toute opposition

Le gouvernement a déclaré « illégales » et « clandestines » deux plates-formes regroupant les principaux partis et organisations de la société civile de l’opposition.



L’ONG Human Rights Watch (HRW) a dénoncé une nouvelle « répression » du pouvoir camerounais contre l’opposition à l’approche des élections de 2025, après que le gouvernement de Paul Biya a déclaré « illégal » le regroupement de ses principaux partis dans deux plates-formes.

Depuis sa réélection en 2018 pour un septième mandat, contestée par l’opposition et les ONG internationales, le président Biya, 91 ans, qui dirige sans partage ce vaste pays d’Afrique centrale depuis plus de quarante et un ans, fait sévèrement réprimer toute opposition, dénonce régulièrement HRW.


Dans un communiqué publié le 12 mars, son gouvernement a déclaré « illégales » et « clandestines » deux plates-formes regroupant les principaux partis et organisations de la société civile de l’opposition en vue des élections présidentielle et législatives de 2025, l’Alliance politique pour le changement (APC) et l’Alliance pour une transition politique au Cameroun (ATP).


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