top of page

Voici l'horrible histoire de Minette, l’adolescente camerounaise violée à mort par une bande

Elle aurait aimé mettre le pied au lycée, mais minette n’ira pas à l'école la semaine prochaine. En fait, ses camarades ne la verront plus, tout comme ses parents dans les mais desquelles elle est décédée le mercredi 30 septembre dernier à Bepanda.



L'histoire d'un horrible viol


Elle s'appelait Minette, elle avait 17 ans, elle venait d'avoir son BEPC, mais elle est décédée après avoir été victime de viols avec pénétrations brutales en bandes. Minette avait disparu dans la journée. Après des recherches, elle a été retrouvée affaiblie dans un chantier a logpom. C'est probablement sur ce chantier que la jeune fille a été violée sauvagement à volonté et à outrance par des jeunes sans scrupule. Après des soins intenses, elle est décédée le 30 septembre a l'hôpital de Bepanda.


5,2% des Camerounaises violées avaient moins de 10 ans


Selon une récente étude de santé publique, sur une population de 37 719 filles et femmes camerounaises, 5,2% ont été victimes de viols,et presqu'un quart avait moins de 10 ans au moment des faits.


Les résultats de cette étude sont disponible depuis plusieurs mois, mais rien n'est fait pour mettre fin à ce phénomène, selon Minouche Ngo Bissohon, l'ex petite amie de Cabral Libii, connue sous le nom de Laila Mbombo.


'Pourquoi ? Le corps de la femme est sacré. Il s'épanouit sous les caresses. Faites-le rayonner d'une sublime beauté. Arrêtez de triturer des destins. Un beau corps de femme reste la meilleure lampe de votre chevet. Rendez vos nuits et vos vies moins opaques et dormez avec celles qui consentent à aller avec vous. Laissez les autres voguer librement.


N'oublions pas que le Cameroun a ratifié un certain nombre d'instruments juridiques internationaux, régionaux relatifs à la protection des droits humains fondamentaux et partant,ceux de la femme et de la fille camerounaises. En attendant que le combat pour la mise en place de dispositifs et de véritables lois spécifiques contre les violences faites aux femmes porte ses fruits, rappelons l'article 396 du code civil Camerounais. Il stipule qu': ''Est puni d'un emprisonnement de cinq (5) à dix (10 )ans,celui qui ,à l'aide de violences physiques ou morales ,contraint une personne,même pubère,à avoir avec lui des relations sexuelles". Les gens aux mœurs douteuses et approximatives sont donc prévenus. STOP AUX VIOL DES FEMMES!', écrit Minouche Ngo Bissohon.

0 commentaire
originale.png
Newsletter: Déjà 3'000 inscrits!
Recevez chaque jour par email, les actus Camerinfos à ne pas manquer!
bottom of page